Autarif indicatif de 20 Ă  25 € la tonne en andain sur le champ vient s’ajouter le prix du pressage (15 Ă  25 €), de la manutention (15 Ă  25 €) soit 50 Ă  60 € la tonne pour de la paille Aujourdhui, les prix de la paille sont entre 110 et 150 € la tonne, soit deux fois plus. ». Pour stopper la spĂ©culation sur la paille et le foin et aider les Ă©leveurs, le Modef fait trois Lesmeilleures offres pour Vintage Panama doux en forme de chapeau de paille vacances d'Ă©tĂ© Femmes Hommes Large Bord Chapeau sont sur eBay Comparez les prix et les spĂ©cificitĂ©s des produits neufs et d 'occasion Pleins d 'articles en livraison gratuite! Vay Tiền Nhanh. Mise Ă  jour 18/08/2022 Toutes les actualitĂ©sAnimalAgriculture biologiqueAgroĂ©quipementBĂątiment agricoleBiodiversitĂ©Bois - forĂȘts - bocage - paysagesCircuit courtEcophytoEnergie & climatEnvironnementInnovationNon alimentairePrairieVĂ©gĂ©talAgendaPublications Pays de la Loire La sĂ©cheresse peut favoriser les Ă©changes paille fumier quel rapport d'Ă©change ? On retiendra pour 2020 en fonction de la valeur des unitĂ©s azote, phosphore et potassium, et de coĂ»t de la valeur humus, une valeur agronomique de 20,8 € par tonne pour la paille et 15,5 € par tonne pour le fumier de bovins stabulation. Ainsi sur base de la valeur agronomique 1 tonne de paille Ă©quivaut 1,34 tonne de fumier on peut calculer un rapport d’échange Ă  0 euro en fonction des travaux rĂ©alisĂ©s par chacun des deux agriculteurs sur les produits paille et fumier conditionnement, chargement, transport et Ă©pandage. DiffĂ©rents cas de figures sont possibles. A titre indicatif, Ă  partir de coĂ»ts moyens de matĂ©riels paille balles rondes et Ă©pandage fumier bovins 30 T/ha, quelques exemples de rapport d’échange Ă  0 euro A - l’éleveur gĂšre la paille pressage et transport et le cĂ©rĂ©alier le fumier transport et Ă©pandage ; 1 t de paille contre 1,34 t de - l’éleveur fait tout, il gĂšre la paille et le fumier, en fonction de la distance de transport, 1 t de paille contre 0,76 Ă  0,97 t de fumier *. C - le cĂ©rĂ©alier gĂšre la paille et l’éleveur le fumier jusqu’à l’épandage, 1 t de paille contre 1,72 Ă  1,75 t de fumier *.D - l’éleveur n’assure que le transport du fumier, 1 t de paille contre 1,97 Ă  2,08 t de fumier *.E - le cĂ©rĂ©alier ne fait que l’épandage du fumier, l’éleveur faisant toutes les autres opĂ©rations, l’échange sera de 1 t de paille contre 0,87 Ă  1,15 t de fumier *.F - l’éleveur transporte la paille et le fumier, le cĂ©rĂ©alier assurant le pressage de la paille et l’épandage du fumier ; 1 t de paille contre 1,42 Ă  1,89 t de fumier *.*Quand une fourchette d’échange est indiquĂ©e, la plus petite valeur correspond Ă  un Ă©change entre 2 lieux Ă©loignĂ©s de plus de 20 km, la plus grande Ă  une proximitĂ© de l’ordre de 5 km. Localiser Pays de la Loire L'actu des pros Paille Prix indicatifs pour la paille pressĂ©e ÉtĂ© 2021PailleFr. / par 100 kgLivrĂ©e franco ferme en petites bottespas de prix indicatifLivrĂ©e franco ferme en grosses bottespas de prix indicatifDĂ©part ferme en grosses ferme en petites l'andain l'Ă©tĂ© 2022 Prix indicatif du Schweizer RauhfutterverbandPaille BIO ÉtĂ© 2021 Fr. / par 100 kgChargĂ© Ă  la ferme en grosses bottesCHF Ă  la ferme en petites bottesCHF Ensilage Fourrage dĂ©part champ SpĂ©cialitĂ©s Les cĂ©rĂ©ales d’hiver ont souffert dĂšs l’implantation, les rendements en grains comme en paille sont dĂ©cevants, mĂȘme si certaines zones bretonnes tirent leur Ă©pingle du jeu. Cette campagne de moisson 2020 donne ses premiĂšres conclusions et qualifie la rĂ©colte de dĂ©cevante. On s’attendait Ă  avoir un potentiel rĂ©duit Ă  cause des excĂšs d’eau de cet hiver », dĂ©plore Michel Le Friant, du pĂŽle CĂ©rĂ©ales de chez Eureden. En effet, les conditions vraiment particuliĂšres aussi bien pendant la pĂ©riode des semis que pendant les stades de croissance vĂ©gĂ©tative produisent aujourd’hui des tonnages rĂ©coltĂ©s dĂ©sastreux dans certains coins de Bretagne. L’orge atteint pĂ©niblement en moyenne les 50 quintaux, quand la coopĂ©rative enregistre en annĂ©e plus classique des rendements de 65 quintaux. Les sols hydromorphes comme dans le marais de Redon 35 ou encore en limite Morbihan / Loire-Atlantique enregistrent des rĂ©coltes catastrophiques, de 20 Ă  40 quintaux ».* Toutes les cĂ©rĂ©ales d’hiver ont souffert de semis tardifs, parfois dans de mauvaises conditions. Les interventions de dĂ©sherbage ont Ă©tĂ© difficiles Ă  rĂ©aliser, tout comme les apports d’azote ». Paradoxalement en Ouest-Bretagne et Ă  cause des semis dĂ©calĂ©s dans le temps, les producteurs s’attendaient Ă  des rĂ©coltes plus tardives ; or la saison des moissons a dĂ©marrĂ© sur un calendrier identique aux annĂ©es prĂ©cĂ©dentes. Le cycle vĂ©gĂ©tatif a Ă©tĂ© raccourci, les petits grains tĂ©moignent de parcelles qui ont souffert ». Les PS sont de l’ordre de 65 kg/hL en orge. Le responsable rĂ©sume cette collecte en rappelant que plus on est dans un territoire Ă  rĂ©colte prĂ©coce et dans des sols hydromorphes, plus la sanction est sĂ©vĂšre ». Le ramassage de la paille n’attĂ©nue pas ce sentiment de mauvaise annĂ©e, avec par endroits 3 tonnes pressĂ©es Ă  l’hectare. Dans la plaine cĂ©rĂ©aliĂšre de la Beauce, les rendements en paille atteindraient difficilement les 2 tonnes, laissant prĂ©sager un prix des brins dorĂ©s qui risque de s’envoler. Les blĂ©s trĂšs hĂ©tĂ©rogĂšnes Les 1ers blĂ©s rentrĂ©s par la coopĂ©rative affichent des PS plutĂŽt corrects, au-dessus de 78 kg/hl. Les taux de protĂ©ines se situent entre 11,2 et 11,4 %. La qualitĂ© et les rendements sont en amĂ©lioration quand on remonte en Centre- Bretagne, comme en rĂ©gion de LoudĂ©ac ou de Pontivy. En FinistĂšre comme Ă  ChĂąteaulin, les rĂ©sultats peuvent ĂȘtre trĂšs bons », observe Michel Le Friant. Pour autant, l’hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© est de mise pour cet Ă©tĂ©, des producteurs cumulant de mauvais rendements avec des taux de protĂ©ines bas sur un grand arc sud-est breton. Les surfaces sont en baisse Sur le secteur sud-FinistĂšre, les moissons d’orge et de colza se sont terminĂ©es en ce dĂ©but de semaine. Nous terminerons les blĂ©s ce week-end », prĂ©voit Bertrand Le Lay, un des associĂ©s d’une ETA basĂ©e Ă  PlounĂ©our-Lanvern 29. Les rendements sont dĂ©cevants en orge comme en colza la cĂ©rĂ©ale aura donnĂ© entre 50 et 75 quintaux / ha, la crucifĂšre entre 15 et 30 quintaux. Les orges n’ont pas de poids spĂ©cifiques. Les Ă©pis ne sont pas grands, les grains sont petits. Certains PS descendent Ă  52 kg/hL, et s’expliquent par le coup de chaud subi par les cĂ©rĂ©ales Ă  la mi-avril. Les premiers blĂ©s battus sont dans la mĂȘme tendance, avec des PS autour de 76 quand nous sommes habituĂ©s Ă  des valeurs plus proches de 81 ». L’entrepreneur remarque des surfaces Ă  rĂ©colter en net recul, avec une diminution de 20 % de surface dĂ©diĂ©e aux cĂ©rĂ©ales, au profit d’orge de printemps ou de maĂŻs. Des marchĂ©s indĂ©cis Les silos ne seront malheureusement pas pleins », schĂ©matise Michel Le Friant. À cela s’ajoutent une ambiance macroĂ©conomique morose et des marchĂ©s indĂ©cis. Il faut aussi compter sur un Ă©lĂ©ment celui d’une paritĂ© monĂ©taire dĂ©favorable, avec un renchĂ©rissement de l’euro face au dollar. Peu de marchandises pourront partir Ă  l’exportation ». Ce climat confus se dĂ©nouera sans doute dans les prochaines semaines, quand l’Ukraine aura terminĂ© ses rĂ©coltes, stoppĂ©es pour l’instant du fait d’intempĂ©ries. C’est de la folie sur le marchĂ© de la paille. Il y a une forte demande et dans un mĂȘme temps trĂšs peu de marchandise en VendĂ©e, les cĂ©rĂ©ales sont restĂ©es sous l’eau pendant 3 semaines, il n’y a pas de rendement. Les prix flambent, il faut compter 130 € / tonne pour de la marchandise rendue Ă  Rennes, 150 € pour des livraisons dans le FinistĂšre. Nous nous retrouvons dans la mĂȘme situation qu’en 2003 ou en 2018, oĂč la tonne de paille avait atteint en mars les 170 €. Certains cĂ©rĂ©aliers ont du stock, mais ne veulent pas la vendre car ils spĂ©culent. Le plus grave, c’est que nous ne sommes qu’à la fin juillet, la prochaine rĂ©colte n’arrivera que dans 12 mois. La situation va devenir trĂšs compliquĂ©e en Bretagne, notamment pour les volaillers. Je ne prends pas le risque de proposer de la paille espagnole, car elle est pressĂ©e de jour comme de nuit et est de trĂšs mauvaise qualitĂ©. Joanny Reybier, NĂ©gociant en paille et foin

prix de la paille Ă  la tonne